CDR-Comment faire face au changement ?
Que le changement soit volontaire ou non, la décision de changer de vie ou de situation professionnelle nous amène souvent à des questionnements que nous vivons très mal.
Nous arrivons à des carrefours de notre vie où nous devons faire des choix et affronter une épreuve et nous nous sentons démunis car nous avons peur de nous tromper, de perdre ce que nous avons bâti ou de nous ridiculiser.
Alors aujourd’hui, nous allons parler de comment faire face au changement et faire les bons choix qui nous grandissent.
[Q] De quel type de changements, parlons-nous aujourd’hui ?
Il y a des changements volontaires sur lesquels nous avons un pouvoir de décision et les changements involontaires qui ne dépendent pas de nous tels que refaire sa vie quand l’on a tout perdu pendant une catastrophe naturelle. Ces derniers d’ailleurs ne nous donnent guère le choix ; c’est marche ou crève.
Donc, nous allons aborder aujourd’hui les changements volontaires comme par exemples :
Je veux quitter mon emploi ;
Je veux terminer une relation amoureuse ;
Je veux perdre du poids ;
Je veux demander une augmentation de salaire.
Lorsque que l’on parle de changement volontaire, souvent la problématique qui se pose c’est d’agir. On procrastine c’est à dire que l’on repousse l’échéance ou la prise de décisions jusqu’à ce que la vie s’en charge pour nous.
La question qui tue ici c’est de savoir : Si l’on est dans un emploi que l’on déteste, pourquoi ne pas en changer ? Si l’on est dans une relation amoureuse qui nous rend malheureux pourquoi restons-nous ? Si l’on veut perdre du poids, pourquoi continuons-nous à grossir alors que l’on sait
pertinemment quoi faire ? Si l’on désire cette augmentation de salaire, pourquoi ne pas la demander ?
C’est de l’auto-sabotage, qui ne s’explique pas simplement par la peur.
[Q] Alors c’est quoi, qu’est-ce qui nous empêche de faire le changement ?
Une neuro-association biaisée c’est à dire que nous entretenons des croyances contradictoires qui nous empêchent de bouger. Nous associons dans notre système neuronal à la fois la peine et le plaisir, nous avons des émotions contradictoires.
Par exemple si je veux changer d’emploi et je me dis que cet emploi ne me correspond plus et qu’il est temps que je change pour être mieux payer car je le vaux bien. En réalité
inconsciemment derrière ce discours je doute et je me dis que je n’arriverais jamais à trouver un emploi car l’économie va mal. Ici j’entretiens deux croyances contradictoires qui m’empêchent de bouger.
Alors je doute et j’envoie le message à mon cerveau «A quoi cela sert d’essayer».
[Q] que faut-il faire pour bouger et enfin prendre une décision ?
Il y a 10 attitudes à adopter qui garantissent le succès mais aujourd’hui je ne vous en présenterais que 3 qui créent le changement que l’on mérite. 1- Je dois le faire ! J’ai atteint mon point de bascule et il n’y pas de statu quo possible
2- Je peux le faire et que j’ai toutes les ressources pour réussir 3- Je suis prêt et j’ai une stratégie efficace
La combinaison de ses 10 attitudes et un changement de croyances permettant de bouger.
Pour en savoir plus, vous pouvez me suivre sur le Facebook, Youtube du centre Karuthéra ou appelez le 0590 47 30 19.
xoxo Muriel